Je hais les athlètes

Je hais les athlètes : Quatrième de couverture

Drame dans les starting-blocks : le mage Surgat, qui veillait sur la « préparation mentale » de la perchiste Oyunchimeg Koutchoun, ex-Mongole naturalisée française et meilleur espoir de médaille de la France aux championnats du monde, est assassiné. Oyun parviendra-t-elle sans son « gourou » à remporter la médaille d’or ? Et qui a tué ce « mage » que fréquentait et détestait tout le petit monde de l’athlétisme tricolore ? Journalistes véreux et cossards, attachées de presse au bord de la crise de nerf, sponsors cajolés, officiels carriéristes ou incompétents, athlètes mégalos et immatures.

Je hais les athlètes utilise l’arme la plus meurtrière qui soit, l’humour, pour égratigner les travers du sport moderne. Emilie Poucan fut pendant des années attaché de presse à la Fédération Française d’Athlétisme et travaille désormais à l’organisation du Dakar et du Marathon de Paris. Ancien grand reporter des sports au Figaro, Philippe Carlin dirige une entreprise de « coaching ». Je hais les athlètes est donc écrit par deux connaisseurs intimes de l’athlétisme et du sport spectacle, qui emmène le roman policier dans un milieu qu’il fréquente peu : celui du sport.

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